Fullmetal Alchemist : Rewrite
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 L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste]

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L'Hohenheim de la Lumière
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L'Hohenheim de la Lumière


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MessageSujet: L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste]   L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste] Icon_minitimeJeu 10 Mai - 23:17

:Nom : Elric

Prénom : Hohenheim

Surnom : L’Hohenheim de la Lumière

Age : D’un âge incertain du à son exceptionnelle longévité, Hoheineim aurait aux alentours de quatre siècles, 400 ans.

Elément de base à votre alchimie : L’âme…

Caractère : Un peu tête en l’air, l’Hohenheim de la Lumière est quelqu’un d’assez tranquille et réservé. Il n’a guère tendance à faire des vagues, mais plutôt à rester renfermé sur lui-même, prisonnier de la malédiction qu’il s’est lui-même infligé. Il a un air perpétuellement mélancolique, et nostalgique. Il aurait voulu pouvoir aimer sa femme, ses enfants, et le leur montrer. Car en dépit de tout il est et reste un mauvais père, il n’a quasiment pas vu ses enfants, et les deux aînés, Edward et Envy son fils transmuté, le haïssent au plus profond d’eux-mêmes.
Il n’a aucune notion du temps, ce qui est cependant compréhensible pour quelqu’un qui est âgé de plus ou moins quatre siècles. Ainsi il ne voit pas le temps passer, que ce soit des années ou des minutes. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il a quitté Rizenbull pendant une aussi longue durée.
Du fait de sa longue vie, il se sent à part. Ni pire ni meilleur, mais à cause de son immortalité il n’arrive pas à se lier, à se mêler. Cependant en quatre cent ans, il a acquis une grande maîtrise de soi, il ne perd pas son sang-froid et a toujours un certain détachement vis-à-vis de la situation. De plus ses connaissances amassées pendant tout ce temps font de lui quelqu’un de particulièrement réfléchi tout autant qu’instruit, pas vraiment un puits de science mais tout de même une source bien loin de se tarir, et qui fait de lui un alchimiste hors du commun. Car l’alchimie, après tout, reste une science, et une science se maîtrise à force de connaissances.

Description physique : Le cheveu blond, Hohenheim a une allure décontractée, cependant il porte constamment une tenue complète qui le recouvre entièrement, cachant ainsi la putréfaction plus que prématurée de son corps.
Il a des cheveux blonds desquels ses enfants ont hérité, qu’il garde tressés en une unique natte pendant dans son dos. Ses cheveux sont coiffés assez régulièrement, excepté quelques uns d’entre eux qui pendant, indisciplinés, devant son visage aux arrêtes saillantes, étonnamment jeune pour quelqu’un de quatre cent ans d’âge, il a les traits assez réguliers et des yeux bruns tirant sur le gris foncé, cachés par des lunettes aux verres vaguement ovales avec montures en acier noir.
Hohenheim a une barbe bien fournie avec des favoris épais viennent compléter son visage ayant tout de même une certaine grâce.
Il est assez massif, grand et large d’épaules, il mesure un bon mètre 85 et a une forte carrure. Il porte le plus souvent un long manteau noir qui lui descend jusqu’aux genoux, avec soit une écharpe soit un pull à col roulé, ou quoi que ce soit qui recouvre son cou et ne laisse apparaître son visage qu’à partir du menton. Ses pantalons varient en genre et en nombre couleur selon ses humeurs, cependant dans l’ensemble il se vêtit de vêtements de bonne coupe, avec une certaine classe un peu surannée.

Arme(s) : Hohenheim ne porte aucune arme sur lui. Lorsqu’il en revient à se battre, son alchimie est redoutable entre toutes.

Autres :
    Intelligence: 5/10
    Dextérité: 3/10
    Force: 2/5


Avatar : Hohenheim Elric, père d’Envy et d’Edward et Alphonse Elric, aussi appelé l’Hohenheim de la Lumière ou encore Hohenheim le Lumineux.
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MessageSujet: Re: L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste]   L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste] Icon_minitimeJeu 10 Mai - 23:17

Histoire :


Aux alentours du XV<sup>ème</sup> siècle naquit un homme dont la destinée devrait à tout jamais changer la destinée du monde. Quoi que peut-être pas du monde, bien qu’il aurait pu, mais tout du moins de son pays. Cet homme – Hohenheim Elric – devait changer le déroulement de la destinée d’Amestris. Quoi qu’il ne le savait pas encore ; il se contenta de suivre des études en alchimie. Cette science qui touche quasiment à la magie, la plus mystérieuse et la plus dangereuse que les hommes aient connu. Il avait pour seule devise l’échange équivalent : « on ne peut rien obtenir sans donner quelque chose de valeur égale en contrepartie » et pour seul but de rompre cette règle l’enchainant aux bas niveaux de l’alchimie. Car lui, ce qu’il voulait, ce qu’il désirait, c’était l’alchimie à son plein potentiel, et toutes les portes qu’elle lui ouvrait.
Il devint rapidement un brillant alchimiste, réputé entre tous en son temps. Il réalisait des transmutations exceptionnelles alors qu’il n’avait eu pour seul mentor que livres et grimoires. Aux alentours de vingt ans, le jeune homme alors brun passa le concours d’entrée au rang d’alchimiste d’état.

Le concours se déroula comme tous les autres examens d’entrée. Il y eut d’abord un examen théorique opposant des centaines de participants et dont seuls certains furent pris, parmi lesquels se trouvaient Hohenheim, qui ne possédait pas encore ce surnom qui lui va si bien, « de la Lumière ».
S’ensuivit ensuite l’examen pratique consistant à faire une démonstration de ses talents. Nombre des candidats passèrent, l’un créa un champ de statue, qui plus est avec un cercle de transmutation des plus simples, bordant une avenue pavée de marbre, mais l’effort le laissa pantois. Un autre créa une rotonde en arcs boutants, tout en jais, et les espaces entre chaque arc étaient composés de vitraux aux couleurs dans des tons rouge sombre. Le cercle qu’il avait dessiné était particulièrement compliqué, mais il devait s’entrainer depuis longtemps car il l’avait réussi relativement rapidement. Restait à sa voir s’il pouvait tout faire avec autant de maestria, ou si ce n’était là qu’une transmutation qu’il réussissait particulièrement bien. Un autre encore choisit une des statues bordant l’avenue de marbre et dessina autour de celle-ci un cercle de transmutation. Quand il l’activa, un nuage de poussière s’éleva et la statue se mit en branle, avançant – semblait-il – de son propre chef. Son allure était saccadée mais elle ne faillit pas et remonta toute l’allée avant de s’agenouiller au bout devant les spectateurs. L’alchimiste en sueur était assis par terre et peinait à reprendre son souffle. Malgré cela, c’était celui ayant le plus intéressé Hohenheim et il savait que celui-là serait pris, comme lui-même le serait. La technique utilisée l’avait d’abord intrigué, mais en analysant le cercle de transmutation il avait fini par comprendre que le cercle lié à l’armure transmutait l’air en roche devant elle et la roche en air derrière elle, selon un schéma précis donnant l’illusion de la marche. C’était épuisant car chaque centimètre était une nouvelle transmutation, mais l’idée était bonne.
Quand son tour vint, Hohenheim s’avança jusqu’au centre de la zone réservée aux aspirants alchimistes d’état, une sorte de parc de verdure au départ verge de toute construction. Il tira d’abord de la poche de son manteau une feuille de papier sur laquelle était dessiné à l’encre noir un cercle de transmutation de difficulté médiane. Il le posa par terre et apposa ses mains dessus. Un cour d’eau sinuant sous la surface de la terre s’en trouva dévié et vint jaillir ici, arrosant l’herbe alentour. Alors Hohenheim enleva de son coup un pendentif représentant un cercle de transmutation. Lui était d’une exceptionnelle complexité, et chaque trait du pentacle était une minuscule excroissance d’acier. Le pendentif dans la main droite, il la trempa dans l’eau s’écoulant sur le sol. Il y eut une décharge de lumière propre à l’emploi de l’alchimie et l’eau devint rouge. D’un rouge clair, comme du vin. Mais tous savaient que ça n’en était pas…
A la fin même du concours, alors qu’un délai de plusieurs jours est normalement alloué aux jurys pour désigner les admis, un alchimiste d’état nommé Joachim MacSend (l’Alchimiste aux Fissures, ainsi nommé car il modifiait la structure de ce qu’il transmutait en le rendant éminemment plus fragile, ce qui en faisait un guerrier redoutable et prisé en temps de guerre) se présenta auprès d’Hohenheim. Il lui apprit que sa performance avait retenu l’attention de tous les alchimistes d’état présent :

-Nous n’avons jamais vu personne matérialiser de l’Eau Rouge lors de son examen d’entrée, dit-il. Aussi nous pensons que vous pourriez nous être…utile, à l’avenir.

Il était de notoriété publique qu’une guerre se préparait à l’ouest, une contrée insurgée prétendait que la loi martiale était abusive et dangereuse pour les libertés établies. Hohenheim connaissait les propriétés de l’Eau Rouge et il pensait impressionner les examinateurs en en synthétisant. Il ne s’était visiblement pas trompé.

-Je vois…répondit Hohenheim. Je ne peux en synthétiser à outrance. Mais je pense que je peux apprendre à d’autres alchimistes à le faire…

Au fond de lui-même Hohenheim savait pertinemment qu’il n’avait quasiment aucune chance de trouver un alchimiste qui avait un talent suffisamment élevé pour réussir cette transmutation et un grade suffisamment bas pour être affecté à son service, cependant il s’en fichait éperdument. Car ce que recherchait Hohenheim, au-delà de la simple et incomplète Eau Rouge, c’était la Pierre Philosophale, surpuissant outil d’alchimie qui lui donnerait accès à la vie éternelle.

-Ce sera parfait alors. Vous êtes pris, termina Joachim. Au fait, je suis l’Alchimiste aux Fissures, Joachim MacSend.

Ainsi fut-il admis au rang d’alchimiste d’état, avec le grade de lieutenant-colonel. Au fil des années qui suivirent il rencontra une jeune femme à la beauté envoutante, laquelle se nommait Dantes. Il n’en tomba pas vraiment amoureux mais entretint une relation durable. La femme pour sa part vouait un amour sans bornes à l’alchimiste qui était alors brun – l’Hohenheim de la Lumière, de son surnom d’alchimiste, car sa capacité de transmutation était quasi-divine et que l’on associe communément la divinité à la lumière la plus pure – et c’était d’ailleurs ce qui perdrait de nombreuses vies plus tard. Cette vie d’alchimiste d’état pour Hohenheim dura en tout une dizaine d’années. Pendant celles-ci la guerre s’était déclarée à l’ouest. Elle avait finalement pris plus d’ampleur que l’on ne le pensait au départ, vu que plusieurs villes de cette région s’étaient réunies sous une bannière unique et avaient levé une armée. Cependant cette armée de paysans et affiliés avait fini par être acculée dans Sanatane, une ville qui était en fait un fort. Sanatane avait été érigée pour pouvoir soutenir un siège de longue durée et elle remplissait son office à merveille, si bien que les alchimistes d’état avaient du intervenir. C’avait été la première guerre d’Hohenheim, ses talents d’alchimistes avaient montré leur pleine mesure et l’armée avait fini par remporter le siège de Sanatane. Un siège de quatre mois, tenu par des paysans face à une armée de métier. Durant cette guerre l’Hohenheim de la Lumière avait découvert une personne qui lui semblait fort intéressante. Le général de brigade Feltz, il avait une grande influence dans l’armée. Mais Hohenheim se rendit compte qu’il pouvait aisément le manipuler du fait que l’admiration que lui vouait le général de brigade. Ainsi dix années après son entrée en temps qu’alchimiste d’état, Hohenheim, Dantes et Feltz se réunirent dans un bâtiment désaffecté de l’actuelle Central City.

-Je crois que tout est prêt…annonça l’Hohenheim de la Lumière.
-Oui, répondirent les deux autres à l’unisson.
-Alors allons-y. Aujourd’hui, nous allons toucher l’immortalité du doigt. Et la tenir au creux de notre poing…

Hohenheim posa les deux mains sur le sol et s’apprêta à concrétiser dix années de recherches assidues. Car cela faisait dix ans qu’il dessinait le cercle de transmutation qui était dessiné à la peinture par terre sous ses mains. En cela il avait été aidé par Dantes au niveau technique, et par Feltz pour avoir l’accès à toutes les ressources.
Il ferma les yeux et laissa le système alchimique en lui, il mit en marche ce catalyseur vivant qu’il était et canalisa l’énergie de la Porte, entre ses doigts, le cercle de transmutation s’éclaira, ses courbes complexes et nombreuses, définies au millimètre près, semblant gagner la troisième dimension.
Alors se répandit l’onde de mort. Comme un courant d’air fauchant toutes les âmes sans aucun égard. En ‘espace d’une seconde elle parcourut toute la ville, touchant chaque personne se trouvant à l’intérieur. Et toutes les personnes qu’elle touchait, elles tombaient en sable avant de se disperser au vent.
Bientôt il ne resta plus que les trois créateurs de la Pierre Philosophale dans la ville. Le gouvernement était mort, tous étaient morts. Treize cuves emplies d’Eau Rouge ceignaient le cercle de transmutation. Le liquide rouge clair se mit à bouillonner et s’écoula au travers du verre, alors même que la structure était étanche. Il recouvrit chaque courbe du pentacle et en son centre une sombre énergie se rassembla. Hohenheim était en sueurs, il avait du mal à ne pas s’effondrer.
Puis tout se calma et il ne resta plus qu’un immense vide. Incommensurable et glacial, le vide causé par le silence. Il n’y avait plus un son dans la ville, et au centre du cercle de transmutation, alors que toute l’Eau Rouge avait disparu, se trouvait un rubis. Un rubis qui n’en était pas un. La pierre écarlate était aussi grosse que le torse de son créateur et rayonnait de sa couleur sanglante, projetant des ombres cramoisies sur les visages alentours.
Hohenheim s’effondra au sol.

-Non ! cria Dantes.

Elle s’approcha de lui et prit son poux, mais dut se rendre à l’évidence : il était mort. Elle pleura quelques larmes puis une idée lui vint. Elle se retourna vers Feltz.

-On a enfin la Pierre Philosophale…dit-elle d’une voix atone.
-Oui, répondit celui-ci. Enterrons Hohenheim et donne-moi l’immortalité.
-Pas vraiment non…rétorqua Dantes.

Elle se leva et posa une main sur la Pierre Philosophale ; elle en arracha un bout et le garda au creux de sa paume puis retourna vers Feltz avec un sourire carnassier.

-Tu m’accompagnes ?

Elle posa la Pierre Philosophale contre sa peau et déclencha la transmutation. Il n’était nul besoin de cercle, maintenant. Le corps s’effondra. Sa poitrine se soulevait toujours, son cœur battait mais à l’intérieur il n’y avait nulle âme, nul esprit. Alors elle posa la pierre sur le corps d’Hohenheim, et celui-ci ne broncha pas d’un pouce, mais son âme se transmit à celui du défunt Feltz.
Hohenheim se releva et embrassa la jeune femme goulument en jetant un regard satisfait à la pierre.

-On a réussit mon amour…merci...
-Oh oui…amplement réussi…mais on devrait cacher cela. Il ne faut pas que l’on se rende compte qu’une Pierre Philosophale a été synthétisée.

Hohenheim était d’accord. Aussi sortit-il de la ville avec son amante, et de là il posa un fragment de Pierre sur le sol. La transmutation eut lieu, fabuleuse, telle un séisme. Le sol trembla, un nuage de poussière s’éleva au dessus du sol. Ce fut un bruit de fin du monde, apocalyptique. La transmutation dura une heure entière, mais à la fin il ne restait qu’une plaine.
Et de ville, nenni.
Ensevelie sous des tonnes de roche, on finirait par oublier sa présence.

La vie sans fin de Dantes et Hohenheim débuta. Soixante-dix ans plus tard, ils conçurent enfin un enfant que Dantes attendait avec impatience. Mais, Pierre Philosophale ou pas, on ne peut éviter l’inéluctable. L’enfant était mort-né, à peine sorti du ventre de sa mère. Celle-ci manqua d’ailleurs d’y laisser la vie, et dut changer de corps une fois de plus.
Hohenheim fut atterré par la mort de son premier enfant. Prenant le corps avec lui il tenta une transmutation humaine. Laquelle rata, bien entendu. Hohenheim dut laisser ses yeux et reçut la possibilité de transmuter sans cercle et sans Pierre. Quand il découvrit le corps de son fils, cette chose qu’il avait crée, il en eut le cœur brisé et une terrible certitude : ce qu’il faisait eu mal. Pour la première fois de sa vie Hohenheim eut peur. Peur de lui-même, une vraie peur panique. Il garda son corps aussi longtemps que possible malgré sa cécité et rompit tout contact Dantes. Celle-ci en revanche ne pouvait se résoudre à abandonner son fils, elle le recueillit et en fit un homonculus, Envy.

Il passa encore trois siècles longs et douloureux qu’Hohenheim vécut loin de Dantes, loin de tout, d’un maximum de personne. Il se rendit compte pendant ceux-ci que les corps qu’il prenait pourrissaient de plus en plus vite et qu’il devait en changer de plus en plus souvent. Il tuait alors, tuait pour sa survie, car malgré toutes ces années sa réticence ne l’avait pas quitté : il ne voulait pas mourir.
Malgré toutes ses prévisions pour son avenir, Hohenheim finit par trouver l’amour tout autant que le bonheur. Il avait trouvé Trisha. La jeune femme brune le connut sous un corps blond, qu’il avait acquis peu de temps auparavant. Leur amour était tout bonnement idyllique, ils se marièrent et eurent deux enfants. Hohenheim pensait sincèrement qu’il ne cesserait jamais d’aimer Trisha, et l’avenir devrait lui donner raison. Ses deux enfants de deux ans d’écart furent nommés Edward pour l’ainé et Alphonse pour le cadet. Il les aimait sincèrement eux aussi, et se plaisait à cette vie.
Pourtant un jour une fois de plus sa malédiction infligée à lui-même le tarauda. Une nuit alors que sa femme dormait, son corps blotti contre le sien, il vit dans un miroir son épaule, sa peau. Une trace de putréfaction y apparaissait. La peau était couverte de cloques et se détachait par endroits, elle avait une répugnante couleur noir-violacé.
Hohenheim se leva sans un bruit et s’habilla. Il embrassa silencieusement Trisha, sans la réveiller, et s’en alla, de par les chemins. Il se promit de revenir dés qu’il aurait trouvé la solution à cette putréfaction sans changer de corps. Il n’avait plus de Pierre Philosophale. Et en plus de cela, il ne voulait plus quitter ce corps que Trisha aimait. Jamais. Il mourrait ainsi. Aussi, il reviendrait, bientôt. Es qu’il aurait trouvé…
Hohenheim ne devrait pas revenir des années durant. Personne ne sait exactement ce qu’il fit, cependant il amassa des connaissances colossales à une vitesse impressionnante tandis que sa femme dépérissait sans qu’il n’en ait conscience…

[Je crois que l’histoire du fofo se situe avant le retour d’Hohenheim, si c’est pas le cas je changerais volontiers mon histoire pour l’y adapter.]
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MessageSujet: Re: L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste]   L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste] Icon_minitimeDim 3 Juin - 1:10

Bonjour.

Et non pas de changements à effectuer, l'histoire est parfaite. La fiche aussi d'ailleurs? Je te valide donc.

Fais tout de même attention aux règles de mise en forme. La narration est en italique. ^^
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MessageSujet: Re: L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste]   L'Hohenheim de la Lumière [alchimiste] Icon_minitime

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